Nouvelles de la société
Actifs sous gestion de PH&N Institutionnel
Effectif
Au cours du trimestre, Mona McManus est revenue à RBC Gestion mondiale d’actifs Inc. (RBC GMA Inc.) à titre de cheffe de la conformité. Plus récemment, elle a dirigé l’équipe Conformité pour la gestion discrétionnaire de patrimoine et les activités fiduciaires de RBC Gestion de patrimoine – Canada et a été cheffe de la conformité pour RBC Phillips, Hager & North Services-conseils en placements inc. Auparavant, elle avait passé 12 ans à RBC GMA Inc. à titre de directrice générale, Conformité, et de cheffe suppléante de la conformité, étant chargée de la gestion de l’équipe de conformité de RBC GMA au Canada
Jennifer Schillaci a rejoint l’équipe Marchés privés RBC en novembre en tant que cheffe, Placements immobiliers et hypothécaires, relevant de Michael Kitt. Dans le cadre de ce tout nouveau poste, elle collabore avec Michael pour superviser la gestion des solutions existantes et l’élaboration de nouveaux fonds, enrichissant ainsi notre gamme de solutions et nos capacités en matière de placements privés. Auparavant, elle a travaillé pendant 20 ans au sein d’une société d’assurance de premier plan, y occupant plusieurs postes de direction liés à la gestion de fonds immobiliers et à l’exécution de placements.
Événements récents
En octobre, nous avons lancé le Fonds de titres d’emprunt de sociétés en placement privé à long terme PH&N. Le fonds investit principalement dans un portefeuille d’obligations de sociétés émises par voie de placement privé, y compris des obligations non liquides ou non cotées, afin de profiter d’autres occasions de rendement en revenu connexes. Le nouveau fonds s’appuie sur les excellents résultats du Fonds de titres d’emprunt de sociétés en placement privé PH&N, qui a été lancé en 2016 et qui compte maintenant plus d’un milliard de dollars canadiens d’actifs sous gestion.
Toujours en octobre, nous avons donné le coup d’envoi à la huitième édition du programme de mentorat des femmes en gestion de placements RBC, jumelant ainsi 51 mentors à des étudiantes de l’Université de la Colombie-Britannique, de l’Université Simon Fraser et de l’Université du Nouveau-Brunswick. Il s’agit de notre meilleure année à ce jour. Ce programme, qui réunit des collègues de RBC GMA et de RBC PH&N Services-conseils en placements, témoigne du ferme soutien de PH&N Institutionnel à l’égard de la diversité et de l’inclusion dans notre secteur. L’initiative vise à repérer des talents féminins prometteurs au sein de la faculté de gestion de chaque université partenaire et à les informer des carrières offertes dans les domaines de la finance et des placements
Notre équipe de la politique de placement surveille les mandats de placement de PH&N, de RBC et de BlueBay pour s’assurer qu’ils répondent toujours aux besoins de nos clients et continuent de chercher des occasions avantageuses dans des marchés des capitaux en évolution. Dernièrement, elle a travaillé avec l’équipe Titres à revenu fixe PH&N pour s’assurer que certains fonds d’obligations PH&N non offerts par prospectus sont en mesure de saisir les bonnes occasions liées aux obligations feuille d’érable, ainsi qu’aux obligations non liquides ou non cotées. Par conséquent, au début de 2024, nous augmenterons la pondération maximale en obligations feuille d’érable dans six fonds d’obligations1 , et améliorerons la capacité de sept fonds d’obligations2 à investir dans des obligations non liquides ou non cotées de sociétés en placement privé.
Revues des marchés
Comparaison du rendement des indices au 31 décembre 2023 (%)
Sources : RBC GMA, FTSE Russell, S&P, MSCI.
L’IA continue de faire grimper les actions de sociétés technologiques, mais les craintes liées à la récession et à l’inflation persistent
Les marchés mondiaux ont remonté la pente en 2023 après une année 2022 décevante. La progression des actions a été alimentée par la vigueur de l’économie, combinée aux bénéfices supérieurs aux attentes des sociétés et à la fin probable du cycle de hausse des taux de la Réserve fédérale américaine (la Fed). Favorisées par la probabilité de baisses de taux en 2024 et les tendances qui se dessinent dans le domaine de l’intelligence artificielle (IA), les actions du secteur de la technologie ont figuré parmi les plus performantes. À l’approche de 2024, la probabilité d’une récession, la trajectoire de l’inflation et l’ampleur des baisses de taux seront les principaux sujets d’intérêt.
Malgré la volatilité, les marchés terminent le T4 en hausse
Indexation à 0 % depuis le début de 2023
Nota: Au 31 décembre 2023. Les sept magnifiques comprennent Apple, Microsoft, Alphabet, Amazon, Nvidia, Meta et Tesla. Sources : Bloomberg, RBC GMA.
En ce qui concerne l’activité économique, la plupart des pays développés ont pu éviter une contraction très redoutée en 2023. L’inflation semble être sur la voie de la modération, le risque lié à l’énergie en raison de la guerre en Ukraine s’est grandement estompé, les problèmes causés par les chaînes d’approvisionnement ont été en grande partie résolus et les tensions dans le système bancaire régional des États-Unis se sont atténuées. Toutefois, le portrait macroéconomique n’est pas encourageant pour le premier semestre de 2024. En cas d’intensification, la guerre en Ukraine et le conflit au Moyen-Orient pourraient entraîner des problèmes économiques. Les frictions actuelles entre les États-Unis et la Chine provoquent déjà un léger ralentissement sous l’effet de la restructuration des échanges commerciaux. En outre, les taux obligataires élevés témoignent aussi d’une inflation toujours forte et comprennent une prime de risque reflétant d’énormes déficits budgétaires qui doivent être financés, la transition des banques centrales qui, après avoir acheté des obligations, doivent s’en défaire, et la concurrence accrue provenant de la hausse des taux dans des marchés qui offraient auparavant de faibles rendements, comme le Japon et la zone euro.
Les signes de récession indiquent surtout « oui » ou « peut-être » : nous estimons à 60 % la probabilité d’une récession au cours de la prochaine année
Nota : Au 29 octobre 2023. Analyse de l’état de l’économie aux États-Unis. Source : RBC GMA.
En théorie, l’économie américaine est moins sensible que celle des autres pays aux taux d’intérêt, compte tenu de l’endettement moindre des ménages et de la longue durée des prêts hypothécaires. Cet avantage est toutefois restreint par le resserrement des normes de crédit aux États-Unis. De plus, l’importante stimulation budgétaire apportée en 2023 pourrait avoir un effet négatif en 2024. Le marché du logement a fluctué : après s’être affaibli en 2022, il s’est redressé au début de 2023 avant de ralentir à nouveau. Nous prévoyons une longue période de baisse des prix des logements, compte tenu de la piètre accessibilité à la propriété et des taux hypothécaires élevés. Au Canada, l’économie ralentit et une véritable récession est encore possible. Les dépenses de consommation fléchissent, car l’augmentation des taux d’intérêt aggrave l’endettement élevé des ménages canadiens et les ventes au détail réelles par habitant sont moindres qu’il y a un an. L’immigration est extraordinairement forte au Canada, de sorte que la population du pays s’est accrue à un rythme foudroyant de 3 %. Même si elle apporte un grand soutien à l’économie, il est peu probable qu’elle compense entièrement l’effet de la hausse des taux d’intérêt, surtout compte tenu des résultats déplorables du pays au chapitre de la productivité depuis quelques années.
Nous estimons à 60 % la probabilité d’une récession durant la prochaine année aux États-Unis. Cette probabilité est un peu plus forte pour le Canada, le Royaume-Uni et la zone euro. Néanmoins, toute éventuelle récession est susceptible d’être raisonnablement modérée et relativement courte, et les pertes d’emplois seront inférieures à la normale
L’inflation mondiale a diminué, mais elle demeure élevée
Nota : En date de nov. 2023. Sources : Haver Analytics, Macrobond, RBC GMA
L’inflation a fortement chuté après avoir atteint son niveau le plus élevé depuis plusieurs décennies au milieu de 2022, et nous croyons que cette baisse se poursuivra. Les quatre principaux facteurs de la montée en flèche de l’inflation se sont inversés de façon marquée. Le choc des marchandises s’est estompé, les goulots d’étranglement des chaînes logistiques se sont résorbés, les banques centrales sont passées des mesures d’assouplissement massif à une politique restrictive, et les mesures de relance budgétaire ont été considérablement réduites. Au plus fort de la tempête, l’inflation élevée était généralisée et les prix de la plus grande partie du panier des dépenses augmentaient à un rythme inhabituel, mais l’ampleur de ces phénomènes s’estompe rapidement. L’inflation des biens a disparu. Bien que l’inflation dans le secteur des services demeure forte, elle a également atteint un plafond. Compte tenu de ces raisons, nous croyons que l’inflation continuera de se rapprocher de la cible de 2 % de la banque centrale, même si ce niveau pourrait ne pas être atteint d’ici la fin de 2024.
Après le relèvement rapide et exceptionnellement prononcé des taux directeurs causé par le choc inflationniste, la plupart des banques centrales des pays développés ont stabilisé leurs taux à un niveau élevé de l’ordre de 5 %. Conformément au thème de forte incertitude, il existe plusieurs stratégies que les banques centrales pourraient mettre en place. Il n’est pas impossible que de nouvelles hausses de taux soient décrétées si l’économie reste vigoureuse ou si l’inflation demeure supérieure à 3 % ou plus. Malgré tout, la probabilité d’un abaissement des taux en 2024 s’accroît, peut-être dans un avenir rapproché, et le rythme des baisses de taux pourrait s’accélérer. La Fed a indiqué qu’elle prévoit maintenant réduire les taux au cours des prochains trimestres
Les marchés boursiers ont clôturé le trimestre en territoire positif, malgré un début de période volatile
Les marchés boursiers ont été volatils au cours du trimestre, perdant plus de 10 % au début du T4, en raison de la montée en flèche des taux obligataires, de l’exacerbation des tensions géopolitiques et des signes d’essoufflement de l’économie. Toutefois, ils se sont redressés à compter de novembre et ont terminé le trimestre en territoire positif, ayant profité d’une inflation plus faible que prévu et de la probabilité grandissante d’un atterrissage en douceur de l’économie. L’indice MSCI World Net s’est apprécié au quatrième trimestre et a terminé la période en affichant un rendement de 8,66 %. Ce résultat s’appuie sur la réorientation de la politique de la Fed, qui délaissera les hausses de taux d’intérêt afin de procéder à des baisses en 2024. Bien qu’un tel revirement ait été anticipé prématurément plusieurs fois au cours des 12 à 18 derniers mois, l’inflation avait suffisamment diminué à la fin de 2023 pour donner au marché des raisons d’en tenir compte de nouveau. Les gains de l’ensemble du marché ont été principalement attribuables aux sociétés appelées les sept magnifiques, c’est-à-dire Apple, Microsoft, Alphabet, Amazon, Nvidia, Meta Platforms et Tesla. Dans le futur, le plus grand risque pour le marché boursier est, à notre avis, la trajectoire à court terme des bénéfices des entreprises. Dans la mesure où un atterrissage en douceur pour les États-Unis et l’économie mondiale devient de plus en plus manifeste, il est probable que les actions poursuivront leur progression. Si les perspectives de croissance s’améliorent et que la menace de bénéfices moindres diminue, la reprise pourrait s’élargir et les titres des régions hors États-Unis, les titres de valeur et les actions de sociétés à petite et à moyenne capitalisation pourraient prendre les devants dans un contexte d’augmentation généralisée des bénéfices des sociétés, au moment où les investisseurs seront attirés par les valorisations les plus attrayantes, après le premier semestre de 2024.
Le marché boursier canadien a fini le quatrième trimestre en hausse, l’indice composé S&P/TSX ayant rapporté 8,10 %. Ce rendement est toutefois inférieur à celui du marché américain. La technologie de l’information a été le secteur le plus rentable au Canada. La résilience soutenue de l’économie, les prévisions d’une croissance robuste et la possibilité que la productivité et les bénéfices tirent parti de l’intelligence artificielle ont favorisé les titres technologiques pendant le trimestre et l’année. Les secteurs de la finance et de l’immobilier ont aussi fait belle figure, tandis que les secteurs de l’énergie et des matières ont été parmi les moins performants. En fin de compte, les rendements des actions dépendront de l’évolution des taux d’intérêt, de la gravité et de la durée d’une éventuelle récession et de son incidence sur la croissance des bénéfices des sociétés
Les actions des marchés émergents (ME) ont produit des rendements positifs au cours du trimestre, mais ont été surclassées par celles des marchés développés. Elles ont croulé sous le poids des sociétés chinoises, qui constituent 25 % de l’indice et se sont dépréciées au cours du trimestre. L’un des principaux problèmes de la Chine dans la foulée de la pandémie a été le manque de confiance des consommateurs à l’égard de l’économie, ce qui a entraîné une hausse des taux d’épargne et des dépenses de consommation anémiques. Par surcroît,l’intensification des tensions géopolitiques avec les États-Unis, qui a entraîné des barrières non tarifaires comme des quotas, a incité les partenaires commerciaux de la Chine à diversifier leurs chaînes logistiques. Nous nous attendons à ce que le recul des taux d’intérêt des ME au cours de la prochaine année se produise plus rapidement que dans n’importe quel pays développé, et à ce que la baisse des taux des ME galvanise les bénéfices des sociétés de ces régions. À son tour, l’amélioration des perspectives de bénéfices laisse entrevoir de meilleurs rendements pour les actions de ces marchés. De plus, certains des plus grands pays émergents en dehors de la Chine, notamment l’Inde et l’Indonésie, possèdent encore un fort potentiel d’urbanisation pour stimuler la croissance économique à long terme.
Les taux obligataires ont diminué parallèlement à la baisse de la probabilité de taux d’intérêt élevés à long terme
Sur les marchés des titres à revenu fixe, les principaux indices ont dégagé des rendements positifs au cours du trimestre, car les taux obligataires ont fortement reculé dans l’ensemble des échéances. La progression a été alimentée par le fléchissement des données économiques, l’amélioration sur le plan de l’inflation et le changement d’opinion des banques centrales au sujet de la fin du cycle du durcissement monétaire.
Rendement des secteurs de l’indice des obligations FTSE Canada pour le T4 2023
Source: RBC GAM, FTSE Russell
En ce qui concerne le marché canadien de titres à revenu fixe, le rendement en revenu de l’indice des obligations universelles FTSE Canada était de 3,9 % à la fin du quatrième trimestre, soit une forte baisse de 1,0 % depuis le début de la période. Les taux obligataires sont demeurés volatils pendant le trimestre ; le rendement en revenu de l’indice a varié de plus de 0,05 % au cours d’environ 30 journées. La plupart des fluctuations importantes ont été causées par la diminution des taux obligataires, qui s’explique par un changement des attentes du marché. Celui-ci ne s’attend plus à des taux d’intérêt élevés pendant un long moment, mais plutôt à un assouplissement monétaire. La Banque du Canada (BdC) a maintenu son taux directeur à 5 % lors de ses réunions d’octobre et de décembre. Elle a justifié sa décision par la présence de preuves montrant de plus en plus que les hausses de taux antérieures ont eu l’effet escompté sur l’économie et l’inflation.
Sur le plan de l’inflation au Canada, l’IPC global a continué de baisser au cours du trimestre pour s’établir à 3,1 % sur 12 mois en novembre (contre 3,8 % en septembre et 6,8 % l’an dernier). Tout compte fait, la hausse des taux d’intérêt a réduit les pressions exercées sur les prix d’un large éventail de biens et de services. Toutefois, les prix des logements forment toujours la plus grande composante de l’inflation totale et figurent parmi les principales raisons pour lesquelles l’inflation reste supérieure à la cible.
Composition de l’actif
Dans nos portefeuilles équilibrés et à actifs multiples, nous avons apporté deux changements à la composition de l’actif qui ont entraîné une légère surpondération tactique des obligations aux dépens du marché monétaire. Les taux ont atteint des sommets pluriannuels au cours du trimestre, ce qui rend les valorisations des obligations attrayantes, notamment par rapport à d’autres catégories d’actif. Bien qu’elles aient affiché récemment une corrélation très positive avec les actions, le Comité de composition de l’actif s’attend à ce que les obligations reprennent leurs caractéristiques défensives si le marché s’inquiète de la faiblesse future de l’économie. C’est pourquoi nous jugeons prudent de commencer à établir une surpondération tactique en obligations. Nous avons également réalisé une opération tactique distincte pour les obligations, qui a permis de faire passer la sous-pondération des titres de créance à rendement élevé de la stratégie à un niveau neutre. Cette opération visait à tirer parti des taux très attrayants des titres de créance à rendement élevé qui, selon nous, se sont révélés extrêmement avantageux en raison de la grande qualité du profil de risque de notre stratégie à rendement élevé.
Récentes publications
À compter de la fin de février, nous organiserons notre 22e séminaire annuel Perspectives d’investissement PH&N, et nous terminerons en avril par la diffusion de l’enregistrement. Nous nous réjouissons à l’idée de tenir des rencontres présentielles dans onze villes, tout en reconnaissant que l’enregistrement est une option pratique pour ceux qui se trouvent ailleurs. Cette année, le séminaire abordera les thèmes suivants : les placements dans un monde plus polarisé, le marché canadien du logement, les raisons pour lesquelles les obligations sont loin d’avoir été ennuyeuses (ainsi que d’autres sujets d’actualité relatifs aux titres à revenu fixe) et nos perspectives macroéconomiques toujours populaires. Nous espérons que vous serez des nôtres. L’invitation vous sera envoyée par courriel en janvier.
Pour obtenir des renseignements sur nos publications ou nos divers événements, veuillez communiquer avec votre gestionnaire de portefeuille institutionnel ou écrire à institutions@phn.com.
Gouvernance – Vote par procuration
Les votes par procuration relatifs à nos fonds offerts par voie de prospectus sont communiqués chaque trimestre dans le registre des votes par procuration du site rbcgam.com. Le portail se trouve à l’adresse suivante : ici.
1Fonds fiduciaire d’obligations à court terme de sociétés de première qualité PH&N, Fonds fiduciaire d’obligations de sociétés de première qualité PH&N, Fiducie d’obligations de sociétés à long terme de première qualité PH&N, Fonds fiduciaire d’obligations de sociétés PH&N, Fonds fiduciaire de retraite valorisé d’obligations de sociétés PH&N et Fiducie d’obligations de sociétés à long terme PH&N
2Fonds fiduciaire d’obligations de sociétés de première qualité PH&N, Fiducie d’obligations de sociétés à long terme de première qualité PH&N, Fonds fiduciaire d’obligations de sociétés PH&N, Fonds fiduciaire de retraite valorisé d’obligations de sociétés PH&N, Fiducie d’obligations de sociétés à long terme PH&N, Fonds fiduciaire de retraite d’obligations à long terme PH&N et Fonds valorisé d’obligations à rendement global PH&N
Fonds disponibles pour les investisseurs institutionnels canadiens
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