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Accepter Déclin
22 minutes, 56 seconds pour regarder Par  M.Montanari, CFA, R.Cavallo, CFA 14 mai 2025

Dans cet épisode, Marcello Montanari, premier directeur général et premier gestionnaire de portefeuille, Actions nord-américaines et Rob Cavallo, gestionnaire de portefeuille principal, Actions nord-américaines, parlent des éléments qui stimulent le rebond actuel du secteur de la technologie. Nous parlons des résultats récents et des problèmes spécifiques à certaines entreprises comme Apple et Google.   

Durée : 22 minutes, 56 seconds

Transcription

Jordan Wong
Bonjour à tous et bienvenue à Parlons technique. 
Se joignent à moi Marcello Montanari, premier directeur général et premier gestionnaire de portefeuille, Actions nord-américaines, RBC Gestion mondiale d’actifs et Rob Cavallo, premier gestionnaire de portefeuille, Actions nord-américaines, RBC Gestion mondiale d’actifs.
Pour ceux d’entre vous qui connaissent peut-être un peu moins bien notre balado ou qui l’écoutent pour la première fois, Parlons technique est une série Web mensuelle dans laquelle nous abordons une foule de sujets touchant la technologie et les soins de santé qui se rapportent à deux des stratégies phares de Marcello et Rob, soit le Fonds de sciences biologiques et de technologie RBC, et le Fonds mondial de technologie RBC. Que vous-mêmes ou vos clients investissiez dans ces fonds ou non importe peu. Cette série constitue une excellente façon pour nous tous de demeurer au fait de ce qui concerne les questions relatives à la technologie et aux soins de santé puisqu’il se trouve qu’il s’agit là de deux domaines très innovateurs de l’indice S&P 500. Marcello et Rob, permettez-moi de vous remercier de nous consacrer un peu de temps, comme d’habitude.
Marcello Montanari
Merci de nous avoir invités.
Jordan Wong
Si mon souvenir est bon, nous avons enregistré notre dernier épisode une journée ou deux avant le « Jour de la libération ». Et il me semble qu’une foule de choses se sont passées depuis lors, même si en fait cela ne remonte qu’à quatre ou cinq semaines à peine. Au programme de notre épisode d’aujourd’hui, j’aimerais parler un peu de ce redressement du marché dont nous avons été témoins depuis le « Jour de la libération ».
Je sais que la période de publication des résultats a été plutôt fluctuante pour vous et j’aimerais également aborder ce sujet. Peut-être pourrions-nous aussi parler d’autres nouvelles concernant certaines entreprises en particulier, comme Google et Apple. J’aimerais que nous puissions aborder tous ces sujets au cours des 10 à 15 prochaines minutes.
Commençons par ce qui s’est passé depuis le « Jour de la libération » puisque, comme vous le savez, le Nasdaq s’est redressé de 17 %. Il semblerait que le secteur de la technologie est en voie de réaffirmer sa position de chef de file du marché, à tout le moins, à très court terme. J’aimerais que vous puissiez nous entretenir un peu de ce qui a suscité cette réaction de la part du secteur de la technologie, en plus de nous dire si ces derniers événements ont modifié votre point de vue à l’égard de la façon dont vous envisagez le positionnement de votre portefeuille actuellement.
Marcello Montanari
Très bien. Peut-être pourrais-je commencer.
Permettez-moi, d’entrée de jeu, de dire que, si l’on souhaite discuter de ce qui s’est passé et de cette reprise que vous évoquez, il faut situer les choses dans leur contexte.
À vrai dire, il faut reconnaître qu’étaient survenus une succession d’éléments négatifs qui avaient en quelque sorte infléchi le cours du marché. En effet, celui-ci ne s’était pas encore pleinement rétabli de la nouvelle concernant DeepSeek et de ce que cela signifiait pour l’ensemble du secteur de l’IA et des budgets consacrés à ce domaine. Par ailleurs, ce qu’envisageait de faire Microsoft, notamment alors qu’elle semblait vouloir remettre en cause une foule d’engagements concernant sa capacité en matière de centres de données avait suscité énormément de débats. Ce sujet avait fait couler beaucoup d’encre dans la mesure où l’on se demandait si Microsoft souhaitait peut-être prendre un peu de recul par rapport à l’IA ou si se profilait à l’horizon, dans le marché, un aspect que nous ne percevions pas encore. Microsoft réagissait-elle à DeepSeek ou se passait-il quelque chose de cette nature ?
En parallèle, il faut savoir que Microsoft avait indiscutablement entrepris de revoir la relation qu’elle entretenait avec OpenAI, qui avait été aux avant-postes de toutes les activités de formation l’impliquant. Il y avait donc beaucoup d’interrogations au sujet des dépenses en immobilisations de Microsoft et de ce que cela signifiait pour tout le secteur de l’IA. À tout cela se sont ajoutées les craintes liées aux droits de douane dont les répercussions demeuraient encore à définir… Lorsque Donald Trump a pris la parole dans les jardins de la Maison-Blanche pour annoncer ces pourcentages douaniers incroyablement élevés, dont certains relevaient pratiquement du ridicule… rappelez-vous que sont même alors apparus une multiplicité de mèmes faisant notamment allusion au fait que les pingouins se verraient désormais imposer des droits de douane, ce qui ne semblait d’ailleurs pas les réjouir… Enfin, au début de la période de présentation de l’information financière, il faut parler de Snapchat, société qui n’a peut-être pas vraiment le statut d’entreprise baromètre en ce qui concerne l’écosystème du commerce électronique et de la publicité en ligne. Malgré tout, il faut reconnaître qu’elle a annoncé des résultats laissant fortement à désirer, ce qui a contribué à rehausser les craintes qui prévalaient à propos de ce secteur. Depuis lors, est survenue cette reprise et, à cet égard, il faut souligner que les résultats dans le secteur du logiciel ont été extrêmement intéressants. Je parle ici de certaines grandes sociétés baromètres, comme ServiceNow ou SAP, la société allemande, qui ont affiché des résultats extrêmement intéressants.
Nous avons aussi obtenu les résultats de Microsoft, mais j’y reviendrai un peu plus tard, car je ne veux pas me disperser pour le moment…. Cela dit, Microsoft a affiché des résultats intéressants. Si je me souviens bien, la dernière fois que nous nous sommes entretenus de Microsoft, nous avions souligné que son secteur Azure se butait à des problèmes de capacité, sans compter certains problèmes de réaffectation de son équipe de vente dont nous espérions qu’ils commenceraient à se corriger d’eux-mêmes avant la fin du trimestre et le début du suivant. Et c’est bien ce que nous avons observé dans une large mesure, alors que la situation a commencé à se corriger un peu plus tôt. Ont été annoncés des résultats très intéressants de la part de ces sociétés indicatrices des secteurs du commerce électronique et de la publicité, comme Google et Meta.
Par ailleurs, nous avons observé une hausse des dépenses en immobilisations, notamment de la part de Meta, qui a augmenté ses dépenses, celles-ci étant toutes liées au secteur de l’IA. De sorte que, globalement, tous les aspects que je viens d’évoquer et qui avaient créé un certain climat négatif important ont commencé à se corriger d’eux-mêmes. Nous avons donc observé une inversion de la situation de ce qui s’était produit auparavant. Peut-être pourrais-je maintenant céder la parole à Rob, puisque je suis sûr qu’il aimerait nous faire part lui aussi de certaines de ses réflexions.
Rob Cavallo
En effet. Pour ma part, j’aimerais revenir en arrière et traiter de la deuxième partie de la question qui concerne la façon dont nous envisageons notre positionnement depuis lors. En fait, lorsque nous jetons un regard en arrière, à tout le moins à très court terme, au cours des premières journées suivant ce « Jour de la libération », il semble que le marché ait assimilé les craintes les plus fortes qu’il pouvait entretenir au sujet des droits de douane. Depuis lors, le marché en est en quelque sorte venu à la conclusion que toute cette question ferait l’objet de négociations pour aboutir à une situation qui serait préférable à celle que l’on entrevoyait alors. Ont en effet été annoncées des exemptions pour certains volets du secteur de l’électronique grand public et de l’électronique dans son ensemble, ce qui a procuré un certain soulagement par rapport au sentiment qui prévalait au pire de la situation.
Il me semble aussi important de noter, comme Marcello l’a souligné, que nous avons connu une période de publication des résultats qui, à tout le moins pour le moment, semble avoir été meilleure que celle à laquelle nous nous attendions. Nous n’avons pas observé de sentiment de négativité potentielle, ni trouvé l’expression d’un tel sentiment dans les indications prospectives des entreprises. Peut-être cela s’explique-t-il du fait que celui-ci ne se concrétisera pas ou qu’il est encore trop tôt pour le dire, mais il me semble que le marché s’attendait à des perspectives encore moins encourageantes à l’aube du prochain trimestre. Et cela ne s’est pas concrétisé, ce qui a en quelque sorte contribué à alimenter d’autres aspects plus spécifiques concernant certaines entreprises que vient d’évoquer Marcello. Les sept magnifiques ont connu de très solides résultats qui ont en quelque sorte rehaussé de façon très marquée l’ensemble du secteur de la technologie.
Voilà donc certains des aspects positifs. Mais, alors que nous tournons notre regard vers l’avenir, nous devons reconnaître que celui-ci n’est pas encore tout à fait rose et que nous sommes toujours d’avis que l’approche des volets extrêmes demeure applicable, puisque nous pouvons tout aussi aisément plaider en faveur du scénario optimiste que du scénario pessimiste en ce qui concerne l’avenir.
Pour ce qui est du scénario optimiste, si les craintes concernant la croissance ne devaient pas mener à une récession, nous nous retrouvons dans une situation où certaines des données concernant les résultats nous permettent de croire qu’il semblerait que nous nous retrouvions dans une situation analogue à celle des creux des cycles de crainte liée à la croissance antérieurs, comme en 2016, 2020 et 2022. Nous pourrions donc revoir nos estimations à la hausse d’ici la fin de l’année, ce qui serait positif en soi. Et nous pouvons également brosser un tableau positif de toute cette situation, notamment si devaient être conclus des accords tarifaires au cours des prochaines semaines, alors que nous pourrions aborder la deuxième moitié de l’année et que la conjoncture en faveur de la croissance pourrait commencer à prendre forme, que pourraient se concrétiser les baisses d’impôt, la déréglementation, etc.
Cependant, du côté pessimiste, il faut reconnaître que nous ne sommes pas encore vraiment sortis du bois. En effet, certains des enjeux tarifaires pourraient se prolonger et ils pourraient à leur tour avoir une incidence sur le marché du travail, et ainsi de suite. Nous sommes d’avis que ce scénario pessimiste pourrait toujours se concrétiser. Nous nous retrouvons donc dans une large mesure dans une situation où nous sommes ambivalents en ce qui concerne les positions défensives et les investissements présentant un risque plus cyclique, en optant tantôt en faveur de l’une de ces approches et tantôt en faveur de l’autre.
Mais, à vrai dire, nous retenons toujours en quelque sorte l’approche des volets extrêmes en raison de l’incertitude qui persiste. Comme je l’ai déjà dit, nous pourrons mieux juger de la situation au fil du temps mais, pour le moment, nous estimons toujours qu’une approche équilibrée est la plus fondée.
Jordan Wong
Voilà qui est excellent et très utile. Merci à vous deux.
J’aimerais revenir à vous, Marcello. Vous avez commencé à nous parler brièvement de la dernière période de publication des résultats. À l’évidence, celle-ci a présenté une certaine volatilité, et quelques sociétés baromètres ont connu des variations importantes, comme vous l’avez souligné. Peut-être pourrais-je vous donner quelques minutes à tous les deux pour que vous puissiez étoffer vos réflexions et les conclusions que vous en tirez, ce qui vous a été confirmé et ce qui vous semble important de tirer de cette dernière période de présentation des résultats en ce qui concerne votre portefeuille. Peut-être pourriez-vous formuler quelques commentaires à cet égard.
Rob, j’aimerais beaucoup que vous nous fassiez part de vos réflexions sur certains des grands noms du secteur des soins de santé qui ont affiché leurs résultats, comme les sociétés Lilly et UnitedHealth.
Marcello Montanari
Très bien. Permettez-moi de commencer.
Comme je l’ai dit plus tôt, Microsoft est la plus importante société baromètre du domaine du logiciel. Et non seulement elle mais d’autres entreprises comme SAP et ServiceNow ont également affiché d’excellents résultats. Je me permets de souligner que ServiceNow a entrepris d’intégrer à leur plateforme logicielle ce volet agentique qui commence à connaître un certain succès. Et, comme vous le savez, ServiceNow suscitait énormément de craintes au début du trimestre, en raison de tout ce qui se passe au niveau du gouvernement fédéral en ce qui concerne l’initiative du département américain de l’efficacité gouvernementale (DOGE) et des multiples mesures de réduction de coûts. Mais qui pouvait deviner qu’une entreprise qui cherche à faire en sorte que ses clients puissent réaliser des économies en rationalisant leurs processus et en automatisant leurs opérations pourrait en fait profiter d’une telle conjoncture…
Il faut reconnaître que ServiceNow a connu un trimestre exceptionnel et a de nouveau affiché un certain potentiel à la hausse du fait de certains des aspects technologiques propres aux systèmes d’IA agentiques sur lesquels l’entreprise travaille actuellement. Cependant, comme je l’ai dit plus tôt, Microsoft demeure la principale société baromètre. Et il faut savoir qu’au cours du quatrième trimestre, Microsoft avait présenté des résultats peut-être un peu inférieurs aux prévisions qui tenaient dans une large mesure à leurs contraintes de capacité pour l’ensemble de leurs centres de données et à leurs activités d’exploitation autour, en fait, de deux volets. D’une part, le volet Azure et, d’autre part, le volet des produits d’IA, comme Copilot, GitHub et ce genre de produit. Et il faut reconnaître qu’au cours du quatrième trimestre, l’équipe de vente s’était véritablement fixé pour objectif de mettre de l’avant certains de ses produits d’IA, même si, à certains égards, à tout le moins, ceux-ci n’étaient pas prêts à combler les besoins de tous leurs clients.
L’équipe de vente agissant en ce sens, le volet Azure de l’entreprise s’est retrouvé pour ainsi dire quelque peu négligé. Microsoft s’était cependant bien promis d’inverser cette situation. Sans compter le fait qu’elle allait maintenant profiter d’une capacité accrue. Nous avons donc perçu que tout cela pourrait se concrétiser au cours de ce trimestre. Je parle ici de la capacité en voie d’être recouvrée… 
L’équipe de vente a corrigé le tir et a entrepris de mettre l’accent sur Azure. Azure est un produit essentiel puisqu’il sous-tend en quelque sorte l’ensemble de la transformation numérique des entreprises. Il faut dire que cette approche commence à produire à nouveau des résultats intéressants pour Microsoft. Si l’on y ajoute l’aspect relatif à l’IA, celui de la capacité additionnelle…
… sans compter toutes les préoccupations au sujet de leur stratégie relative aux centres de données, et les raisons pour lesquelles l’entreprise avait entrepris de prendre un pas de recul par rapport à certains aspects et certains emplacements. Il faut dire que Microsoft est parvenue à expliquer très clairement qu’elle avait joué un rôle de précurseur en ce qui concerne toute cette question de l’IA et qu’elle avait misé sur différents endroits où pourraient être implantés des centres de données. Pour ensuite se rendre compte qu’elle n’avait pas besoin de tous ceux-ci. Sans compter le fait par ailleurs, et cela est courant pour les entreprises dont les activités font intervenir des semi-conducteurs, qu’elles deviennent de plus en plus efficaces avec le temps. De sorte qu’en fait, Microsoft a entrepris de se départir de certaines des choses dont elle n’avait pas besoin…
Pour leur part, les marchés avaient estimé qu’il s’agissait là d’une mauvaise nouvelle. Mais l’entreprise s’est montrée fort habile pour expliquer qu’à l’avenir, elle se promettait de continuer à dépenser, que ses budgets continueraient d’augmenter, bien qu’à un niveau peut-être différent. Qu’elle souhaitait mettre de plus en plus l’accent sur les puces, le matériel et l’informatique optique plutôt que sur les infrastructures matérielles, ce qui est positif pour l’écosystème d’infrastructure propre à l’IA auquel Rob s’intéresse, comme en ce qui concerne Nvidia et toutes ces entreprises. Tout cela a donc été important en ce qui concerne la transformation numérique, l’IA, les dépenses en immobilisations et plusieurs de ces thèmes. Cela étant dit, encore une fois, il faut dire que, de manière générale, le secteur du logiciel a affiché de bons résultats.
Rob Cavallo
Absolument. Et je peux certainement ajouter rapidement quelques commentaires sur UnitedHealth et Eli Lilly du fait de la taille et de l’importance du secteur, ainsi que de leur importance pour nos portefeuilles. Commençons par UnitedHealth, qui a connu une baisse de 22 % le jour de l’annonce des résultats. Depuis la veille de cette journée, le titre a reculé de 34 %. Si de nombreux facteurs expliquent cela, tout revient essentiellement à une chose en particulier.
La façon dont le codage sera réalisé est en voie de changer et UnitedHealth passe actuellement par cette période de transition, au même titre que le reste de l’industrie. Comme UnitedHealth a un statut de baromètre et fait l’objet d’une attention très soutenue de la part de Washington, elle doit porter une attention particulière à la façon dont elle assure le codage dans l’environnement qui prévaut actuellement. Et cela a eu une incidence très marquée sur ses prévisions de revenu, ce qui a entraîné une forte baisse des attentes relatives aux résultats ou des prévisions de résultats. L’action a donc chuté, du fait qu’on estime désormais que 2025 sera une année difficile et qu’il faudra attendre 2026 et au-delà de cette échéance pour que survienne une reprise. Peut-être ces prévisions sont-elles trop pessimistes, mais il est très difficile de les réfuter à très court terme. Cependant, nous ne pensons pas que cela change quoi que ce soit sur le plan structurel, bien que, manifestement, cette situation ait pris le marché au dépourvu.
En ce qui concerne Eli Lilly, il faut retenir deux choses importantes. Le titre a connu une forte hausse quelques semaines avant la publication des résultats après qu’elle eut fait connaître les conclusions de la première série d’essais cliniques portant sur son médicament oral contre l’obésité, Oral GLP 1. Les données sont excellentes. Il y a par ailleurs raison de croire que les résultats des essais cliniques de ce médicament qui seront produits plus tard cette année seront excellents. Le titre a connu une forte hausse du fait de l’atténuation de ce risque potentiel, puisque les données auraient pu laisser entrevoir un élément négatif. Mais le titre a par la suite connu une forte baisse anéantissant pratiquement du même coup tous les gains préalablement réalisés. Le rapport était excellent. Le problème tient au fait que le marché craint que ne débute une guerre de prix entre Eli Lilly et Novo Nordisk en raison d’une entente avec CVS Caremark, un gestionnaire de régimes d’assurance-médicament, qui recommande à ses clients, à titre de médicament de référence, le médicament contre l’obésité de Novo Nordisk.
Le marché a estimé que cela laissait présager une guerre de prix, ce qui constitue une réaction tout à fait excessive, compte tenu du stade actuel de l’évolution des marchés. Malgré tout, cela a considérablement plombé le titre. Cependant, encore une fois, nous sommes d’avis que cette situation est extrêmement intéressante à long terme et représente une occasion d’augmenter encore notre position à l’égard de ce titre, je tiens à le préciser.
Jordan Wong
Très bien. voilà qui est très utile, Rob. Merci.
J’aimerais parler un peu de Nvidia, Rob, un titre que vous couvrez. Comme Marcello l’a souligné, les résultats liés à l’IA ont été plutôt bons, ce qui semble constituer un atout pour un titre comme Nvidia. En parallèle, cependant, nous en avons appris beaucoup sur les restrictions liées aux puces et ainsi de suite. Peut-être pourriez-vous nous brosser un bref aperçu de la situation de ce titre et nous dire ce que vous pensez de la situation actuelle.
Rob Cavallo
Oui. De manière générale, ce qu’a dit Marcello au sujet des dépenses d’investissement et certains autres aspects sont de bon augure pour Nvidia. Je ne pense pas que tout cela permet de vraiment tirer encore au clair le débat quant à la façon dont doit être envisagée la croissance au cours de la prochaine année, mais cela constitue un excellent point de départ pour revoir notre vision et devenir peut-être un peu plus positif sur le plan tactique, bien que nous n’en soyons pas encore là. En raison du fait que sont également survenus d’autre événements.
Même si j’ai un peu de mal à me rappeler précisément des dates, alors que cet événement est peut-être arrivé il y a quatre ou cinq semaines plutôt qu’il y a trois ou quatre semaines, est tout d’abord survenue la nouvelle restriction concernant le type de puce d’IA que l’entreprise est autorisée à vendre à la Chine. Il s’agit de la puce H20. Il s’agit en fait fondamentalement d’une version épurée, très élémentaire, de la puce d’IA que Nvidia avait été préalablement autorisée à vendre à la Chine. Mais tel ne sera plus désormais le cas.
L’entreprise a donc radié une somme de plus de 5 milliards de dollars et le marché, pour sa part, tiendra compte du fait que l’entreprise ne pourra pas réaliser des revenus de l’ordre de 10 à 15 milliards de dollars cette année puisqu’elle ne sera pas autorisée à vendre cette puce. Voilà donc une mauvaise nouvelle. À laquelle il sera possible de réagir, manifestement, bien qu’il s’agisse clairement d’un aspect négatif à court terme pour Nvidia.
En contrepartie, nous avons appris hier que l’administration Trump pourrait ne pas mettre en œuvre la règle de diffusion de l’IA qu’avait adoptée l’administration Biden, tout juste avant la fin de son mandat. En substance, cette règle allait scinder le monde en trois groupes de pays.
Les pays du premier groupe auraient été autorisés à obtenir tous les processeurs graphiques qu’ils souhaitaient. Les pays du troisième groupe, comme la Chine et la Corée du Nord, ne seraient jamais en mesure de se procurer des puces d’IA haut de gamme. Enfin, tous les autres pays, soit ceux du deuxième groupe, devaient en fait procéder au coup par coup en obtenant une licence distincte avant de voir ce qu’il allait advenir de leur situation. Il semblerait que cela ne soit pas sur le point de se produire. Bien que nous ne sachions pas précisément en quoi consistera la règle de substitution, nous sommes d’avis qu’elle ne sera pas aussi drastique.
Voilà donc une nouvelle étape positive pour ce qui concerne Nvidia. Cependant, nous attendons de pouvoir établir avec un peu plus de certitude la façon dont nous allons pouvoir modéliser les objectifs de croissance de l’année prochaine. Nous avons hâte d’y parvenir parce que nous pourrons alors conclure cette opération. Voilà donc deux nouvelles positives, bien que nous adoptions actuellement une position d’attente, jusqu’à ce que nous puissions nous faire une meilleure idée du rythme de croissance à l’aube de 2026.
Jordan Wong
Formidable. Voilà qui est très utile. Merci à vous.
Bien que je sois conscient du temps qui file, j’aimerais vous poser une dernière question. J’aimerais notamment aborder les deux entreprises qui occupent une place de choix dans votre indice, soit les sociétés Apple et Google.
Au cours des derniers jours, nous en avons appris beaucoup sur les ambitions d’Apple en matière de recherche. Pourriez-vous nous en dire un peu plus sur ce qui se passe exactement et ce que cela signifie sur le marché de la recherche au sens large pour une entreprise comme Google ?
Marcello Montanari
Très bien. Je pense que vous faites plus précisément référence à ce qui s’est produit hier.
A en effet été publié un reportage sur une partie du procès dans lequel Eddie Cue, de la société Apple, parlait de la relation qu’entretenaient Apple et Google, et des sommes qu’Apple perçoit de Google. Et celui-ci a en quelque sorte évoqué la possibilité qu’Apple fasse désormais cavalier seul ou collabore avec d’autres partenaires, comme Perplexity ou Anthropic.
Cela a donc mis de l’avant l’argument baissier en ce qui concerne Google, qui est en vérité assez pertinent. Google maîtrise en fait l’un des secteurs d’activité les plus attractifs au monde, qui est celui de la recherche. Ses marges sont très intéressantes. Google a conclu un accord en vertu duquel c’est son moteur de recherche que l’on retrouve par défaut sur l’iPhone. Par conséquent, chaque fois que vous effectuez une recherche sur un iPhone, celle-ci est effectuée par défaut sur Google, de telle sorte que les revenus publicitaires reviennent à cette dernière. En contrepartie, Google verse à Apple ce qui constitue un coût d’acquisition de trafic (TAC). Selon l’information que nous avons été en mesure de recueillir, il s’agit en fait d’une somme d’environ 20 milliards de dollars, qui représente un bénéfice net pour Apple. Il s’agit d’une somme colossale.
Hier, tout le monde parlait du fait qu’Eddie Cue avait fait ces commentaires négatifs. Cependant, n’a pas été mentionné ce qu’il a dit au tout début de son entretien, alors qu’il soulignait que Google était indiscutablement la référence en la matière et que cette activité était extrêmement lucrative. En soulignant que, si Google n’était pas retenue et que si Apple ne travaillait pas de concert avec cette entreprise, elle perdrait une somme d’argent importante qui lui permet de financer ses activités de recherche et développement, de payer ses développeurs, ses chercheurs, ses travaux de recherche, etc. En vérité tous les reportages ont omis de mentionner cet aspect.
Quoi qu’il en soit, l’argument selon lequel plus les gens se tourneront vers des grands modèles de langage, vers Anthropic, voire vers d’autres pour effectuer des recherches, Google sera délaissée au profit d’autres sources et il sera de plus en plus difficile au fil du temps pour cette entreprise de monétiser les revenus des activités de recherche par le biais de la publicité, car tout le monde connaît désormais les cinq à dix liens de couleur bleue qui sont le fruit de toute recherche, est largement fondé.
Quoi qu’il en soit, il s’agit d’un sujet très complexe. Jusqu’à présent, nous avons adopté une approche plutôt neutre à l’égard de Google, alors que nous passons d’une sous-pondération à une surpondération au fil des occasions que nous entrevoyons puisque Google demeure une entreprise de premier ordre qui offre un excellent produit, des marges importantes et dont le prix est très abordable. Nous pouvons également entrevoir les bénéfices qu’ils tireront de leurs projets en matière d’IA, de ce qu’ils font en ce qui concerne Waymo, ou de choses de cette nature. De sorte qu’il y a des points positifs en contrepartie dont il convient de tenir compte.
Cependant, si vous êtes Apple, vous touchez une somme de 20 milliards de dollars de Google avec une marge de 100 %. À l’évidence, tout le monde ne cesse de répéter que d’autres vont leur subtiliser cette poule aux œufs d’or. En fait, le problème, c’est que personne d’autre n’a encore développé de produit capable de faire cela. En deuxième lieu, personne n’est capable de monétiser aussi bien que Google n’est en mesure de le faire.
Apple veut-elle donc vraiment entreprendre de transférer du trafic à un partenaire tiers qui ne serait pas en mesure d’offrir un même niveau de monétisation ? Les annonceurs obtiennent d’excellents résultats en collaborant avec Google. Et le fruit d’une collaboration avec d’autres partenaires présente un certain nombre d’inconnues. De sorte que l’on peut se demander pourquoi les annonceurs seraient incités à changer. En l’espèce, ce que je tente de souligner, c’est que, bien évidemment, l’activité de recherche de Google présente un certain nombre de risques à long terme, mais non dans l’immédiat. Et énormément de temps s’écoulera entre la situation qui est aujourd’hui la nôtre et un avenir où la situation se sera considérablement aggravée.
Cependant, les marchés étant ce qu’ils sont, ils ont tendance à anticiper ce qui va se produire et tout le monde porte attention aux indicateurs avancés. Il y aura donc toujours beaucoup de débats quant à ce que pourrait être la valeur ultime des activités de recherche de Google. En conséquence, comme je l’ai dit plus tôt, nous portons une attention particulière à cette question, et nous tentons de la gérer comme il se doit. Lorsque nous percevons des occasions, nous adoptons une position d’acheteur, quitte à revendre par la suite. Telle a été notre approche à l’égard de Google.
Jordan Wong
Formidable. Permettez-moi de vous remercier vivement.
Si je jette un coup d’œil à l’horloge, je constate que c’est tout le temps dont nous disposions pour ce mois-ci, Nous allons donc mettre un terme à notre discussion. Comme toujours, je tiens à vous remercier d’avoir pris le temps de venir nous rencontrer, ce mois-ci comme tous les mois. Et je tiens également à remercier chacun d’entre vous d’avoir écouté l’épisode de ce mois-ci. Je me réjouis à la perspective de vous retrouver dans quelques semaines, lors de notre prochain épisode.
Rob Cavallo
Merci.
Marcello Montanari
Merci.
Jordan Wong
Merci à tous.

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Déclarations

Ce support est fourni par RBC Gestion mondiale d’actifs (RBC GMA) à titre indicatif seulement. Il ne peut être ni reproduit, ni distribué, ni publié sans le consentement écrit préalable de RBC GMA ou de ses entités affiliées mentionnées dans les présentes. Il ne constitue pas une offre d’achat ou de vente ou la sollicitation d’achat ou de vente de titres, de produits ou de services, et ce, dans tous les territoires. Il n’a pas non plus pour objectif de fournir des conseils financiers, juridiques, comptables, fiscaux, liés aux placements ou autres, et ne doit pas servir de fondement à de tels conseils. Il ne peut pas être distribué aux investisseurs résidant dans les territoires où une telle distribution est interdite.

RBC GMA est la division de gestion d’actifs de Banque Royale du Canada (RBC) qui regroupe RBC Gestion mondiale d’actifs Inc. (RBC GMA), RBC Global Asset Management (U.S.) Inc. (RBC GAM (US)), RBC Global Asset Management (UK) Limited (RBC GAM (UK)), RBC Global Asset Management (Asia) Limited (RBC GAM (Asia)), qui sont des filiales distinctes, mais affiliées de RBC.

Au Canada, ce support est fourni par RBC GMA (y compris par PH&N Institutionnel), chacune étant régie par chaque commission provinciale ou territoriale des valeurs mobilières auprès de laquelle elle est inscrite. Aux États-Unis, il est fourni par RBC GAM (US), un conseiller en placement agréé par le gouvernement fédéral. En Europe, il est fourni par RBC GAM (UK), qui est agréée et régie par la Financial Conduct Authority du Royaume-Uni. En Asie, il est fourni par RBC GAM (Asia), qui est inscrite auprès de la Securities and Futures Commission (SFC) de Hong Kong.

Vous trouverez des informations complémentaires sur RBC GMA sur le site Web www.rbcgam.com.

Ce support n’a pas été revu par une autorité en valeurs mobilières ou toute autre autorité de réglementation et n’est inscrit auprès d’aucune d’entre elles. Il peut, s’il est approprié et permis de le faire, être distribué par les entités susmentionnées dans leur territoire respectif.

Tout renseignement prospectif sur les placements ou l’économie contenu dans ce support a été obtenu par RBC GMA auprès de plusieurs sources. Les renseignements obtenus de tiers sont jugés fiables, mais ni RBC GMA, ni ses sociétés affiliées, ni aucune autre personne n’en garantissent explicitement ou implicitement l’exactitude, l’intégralité ou la pertinence. RBC GMA et ses sociétés affiliées n’assument aucune responsabilité à l’égard des erreurs ou des omissions relatives à ces renseignements.

Les opinions contenues dans le présent support reflètent le jugement et le leadership éclairé de RBC GMA, et peuvent changer à tout moment. Elles sont données à titre indicatif seulement et ne visent pas à fournir des conseils financiers ou liés aux placements et ne doivent pas servir de fondement à de tels conseils. RBC GMA n’est pas tenue de mettre à jour ces opinions.

RBC GMA se réserve le droit, à tout moment et sans préavis, de corriger ou de modifier ces renseignements, ou de cesser de les publier.

Les rendements antérieurs ne sont pas garants des résultats futurs. Tout placement comporte un risque de perdre la totalité ou une partie du montant investi. Les rendements estimatifs indiqués, le cas échéant, sont présentés à titre indicatif seulement et ne constituent en aucun cas des prévisions. Les rendements réels pourraient être supérieurs ou inférieurs à ceux indiqués et pourraient varier considérablement, surtout à court terme. Il est impossible d’investir directement dans un indice.

Certains énoncés contenus dans ce support peuvent être considérés comme étant des énoncés prospectifs, lesquels expriment des attentes ou des prévisions actuelles à l’égard de résultats ou d’événements futurs. Les énoncés prospectifs ne sont pas des garanties de rendements ou d’événements futurs et comportent des risques et des incertitudes. Il convient de ne pas se fier indûment à ces énoncés, puisque les résultats ou les événements réels pourraient différer considérablement de ceux qui y sont indiqués en raison de divers facteurs. Avant de prendre une décision de placement, nous vous invitons à prendre en compte attentivement tous les facteurs pertinents.

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