Vous consultez actuellement le site Web destiné aux clients institutionnels du Canada. Vous pouvez modifier votre lieu de résidence ici ou visiter d’autres sites Web de RBC GMA.

Bienvenue sur le site RBC Gestion mondiale d’actifs pour investisseurs institutionnels
English

Pour accéder au site, veuillez accepter nos conditions générales.

Veuillez lire les conditions générales suivantes attentivement. En accédant au site rbcgam.com et aux pages qu’il contient (le « site »), vous acceptez d'être lié par ces conditions ainsi que par toute modification que pourrait apporter RBC Gestion mondiale d'actifs Inc. (« RBC GMA Inc. ») à sa discrétion. Si vous n'acceptez pas les conditions générales figurant ci-dessous, n’accédez pas à ce site Web ni aux pages qu’il contient. Phillips, Hager & North gestion de placements est une division de RBC GMA Inc.

Aucune offre

Les produits et services de RBC GMA Inc. ne sont offerts que dans les territoires où ils peuvent être légalement mis en vente. Le contenu de ce site Web ne constitue ni une offre de vente ni une sollicitation d'achat de produits ou de services à qui que ce soit dans tout territoire où une telle offre où sollicitation est considérée comme illégale.

Aucun renseignement figurant sur ce site Web ne doit être interprété comme un conseil en matière de placement ni comme une recommandation ou une déclaration à propos de la pertinence ou du caractère approprié de tout produit ou service. L'ampleur du risque associé à un placement particulier dépend largement de la situation personnelle de l'investisseur.

Aucune utilisation

Le matériel figurant sur ce site a été fourni par RBC GMA Inc. à titre d'information uniquement ; il ne peut être reproduit, distribué ou publié sans le consentement écrit de RBC GMA Inc. Ce matériel ne sert qu'à fournir de l'information générale et ne constitue ni ne prétend être une description complète des solutions d'investissement et des stratégies offertes par RBC GMA Inc., y compris les fonds RBC, les portefeuilles privés RBC, les fonds PH&N, les fonds de catégorie de société RBC ainsi que les FNB RBC (les « fonds »). En cas de divergence entre ce document et les notices d'offre respectives, les dispositions des notices d'offre prévaudront.

RBC GMA Inc. prend des mesures raisonnables pour fournir des renseignements exacts, fiables et à jour, et les croit ainsi au moment de les publier. Les renseignements obtenus auprès de tiers sont jugés uniquement ; toutefois, aucune déclaration ni garantie, expresse ou implicite, n'est faite par RBC GMA Inc., ses sociétés affiliées ou toute autre personne quant à leur exactitude, leur intégralité ou leur bien-fondé. RBC GMA Inc. n'assume aucune responsabilité pour de telles erreurs ou des omissions. Les points de vue et les opinions exprimés sur le présent site Web sont ceux de RBC GMA Inc. et peuvent changer sans préavis.

À propos de nos fonds

Les fonds de RBC GMA Inc. sont distribués par l'entremise de courtiers autorisés. Les investissements dans les fonds peuvent comporter le paiement de commissions, de commissions de suivi, de frais et de dépenses de gestion. Veuillez lire la notice d'offre propre à chaque fonds avant d'investir. Les données sur le rendement fournies sont des rendements historiques et ne reflètent en aucun cas les valeurs futures des fonds ou des rendements sur les placements des fonds. Par ailleurs, les données sur le rendement fournies tiennent compte seulement du réinvestissement des distributions et ne tiennent pas compte des frais d'achat, de rachat, de distribution ou des frais optionnels ni des impôts à payer par tout porteur de parts qui auraient pour effet de réduire le rendement. Les valeurs unitaires des fonds autres que ceux de marché monétaire varient fréquemment. Il n'y a aucune garantie que les fonds de marché monétaire seront en mesure de maintenir leur valeur liquidative par part à un niveau constant ou que vous récupérerez le montant intégral de votre placement dans le fonds. Les titres de fonds communs de placement ne sont pas garantis par la Société d'assurance-dépôts du Canada ni par aucun autre organisme gouvernemental d'assurance-dépôts. Les rendements antérieurs peuvent ne pas se répéter. Les parts de FNB sont achetées et vendues au prix du marché en bourse et les commissions de courtage réduiront les rendements. Les FNB RBC ne cherchent pas à produire un rendement d'un montant prédéterminé à la date d'échéance. Les rendements de l'indice ne représentent pas les rendements des FNB RBC.

À propos de RBC Gestion mondiale d'actifs

RBC Gestion mondiale d’actifs est la division de gestion d’actifs de Banque Royale du Canada (RBC) qui regroupe les sociétés affiliées suivantes situées partout dans le monde, toutes étant des filiales indirectes de RBC : RBC GMA Inc. (y compris Phillips, Hager & North gestion de placements et PH&N Institutionnel), RBC Global Asset Management (U.S.) Inc., RBC Global Asset Management (UK) Limited, RBC Investment Management (Asia) Limited, BlueBay Asset Management LLP, and BlueBay Asset Management USA LLC.

Déclarations prospectives

Ce document peut contenir des déclarations prospectives à l'égard des facteurs économiques en général qui ne garantissent pas le rendement futur. Les déclarations prospectives comportent des incertitudes et des risques inhérents, et donc les prédictions, prévisions, projections et autres déclarations prospectives pourraient ne pas se réaliser. Nous vous recommandons de ne pas vous fier indûment à ces déclarations, puisqu'un certain nombre de facteurs importants pourraient faire en sorte que les événements ou les résultats réels diffèrent considérablement de ceux qui sont mentionnés, explicitement ou implicitement, dans une déclaration prospective. Toutes les opinions contenues dans les déclarations prospectives peuvent être modifiées sans préavis et sont fournies de bonne foi, mais sans responsabilité légale.

Accepter Déclin
29 minutes, 43 secondes pour regarder Par  PH&N Institutionnel, M.Ricciardi, CFA, A.Houfani, CFA 9 mai 2025

Dans cette webdiffusion, Michael Ricciardi et Assil Houfani discutent des risques, des avantages et des perspectives associés à la catégorie d’actifs des placements alternatifs, et se penchent sur l’évolution possible de la répartition des placements institutionnels entre les différents types de placements alternatifs.

Thèmes spécifiques abordés dans la présentation :

  • Examen du rendement des stratégies des placements alternatifs au cours des 15 dernières années

  • Facteurs à prendre en compte lors de la détermination de la pondération des placements illiquides

  • Perspectives des placements alternatifs sur les marchés privés, notamment l’immobilier, les infrastructures et les titres de créance privés

  • Occasions potentielles dans les stratégies des placements alternatifs liquides

Durée : 29 minutes, 43 secondes

Transcription

Assil Houfani :

Bonjour à tous ! Merci de vous joindre à nous. Bienvenue à la présentation sur le rôle des placements alternatifs. Mon nom est Assil Houfani et je suis accompagné de mon collègue Michael Ricciardi. Nous sommes tous les deux gestionnaires de portefeuille institutionnel associés chez PH&N Institutionnel. Aujourd'hui, nous allons explorer plusieurs aspects des placements alternatifs, en commençant par l'évolution de la participation des investisseurs institutionnels au marché des placements alternatifs.

Ensuite, nous déterminerons si les placements alternatifs ont livré la marchandise, notamment en termes de rendement, de diversification et de liquidité. Par la suite, nous aurons un regard porté sur l'avenir au niveau des perspectives pour les placements privés, en regardant les opportunités d'investissement pour certains segments de marché. Et pour finir, Michael va faire un survol des placements alternatifs, une catégorie qui est négligée par les investisseurs institutionnels et on va voir s'ils peuvent avoir un rôle plus important à jouer à l'avenir.

Sans plus tarder, on va regarder l'évolution de la répartition de l'actif au niveau des investisseurs institutionnels au courant des 20 dernières années. Ce qu'on peut observer, ce qui saute vraiment aux yeux, c'est vraiment l'augmentation assez importante des placements alternatifs. Ici, en bleu pâle, ça presque doublé à chaque dix ans, commençant à près de 10 % en 2005, pour finir à plus de 40 % en 2024.

Il est quand même important de préciser que ces allocations sont basées sur une moyenne pondérée au niveau de la taille des actifs. Donc c'est sûr, c'est biaisé vers les plus grosses caisses de retraite telles que la Caisse de dépôt de placement qui sont reconnus pour avoir des allocations beaucoup plus importantes en placements alternatifs. Néanmoins, lorsqu'on regarde les tendances pour des investisseurs de taille moyenne, on peut observer les mêmes tendances nettes haussières.

 

Maintenant, les placements alternatifs, c'est assez large. Si on regarde un peu la ventilation dans le beigne à droite des placements alternatifs, présentement, pour les investisseurs institutionnels, ce qu'on peut voir, c'est qu'ils sont présentement essentiellement investis en placements privés, donc, notamment les infrastructures, l'immobilier et le capital-investissement. Comme je l’ai mentionné tout à l'heure, les fonds de couverture avec seulement 3 % sont une catégorie qui est sous-exploitée et Michael va revenir plus en détail sur les perspectives de cette classe d'actifs.

Qu'est-ce qui a vraiment motivé les investisseurs institutionnels à allouer beaucoup plus de capitaux aux placements privés ? Bien, pour nous, c'est la combinaison de deux facteurs. Bien entendu, les caractéristiques sont favorables, ce qu'on peut voir à gauche, mais aussi le fait que les investisseurs ont fait face à des défis d'investissement, particulièrement au courant de la dernière décennie, notamment un environnement de faibles taux d'intérêt.

Lorsqu'on pense aux caractéristiques favorables, on pense principalement aux rendements attrayants et vraiment stables des placements privés, mais aussi à la diversification qui vient avec les portefeuilles. Maintenant, on va avoir un regard un petit peu plus important au niveau de ce qui s'est passé en termes d'expérience, au niveau des placements alternatifs au cours des quinze dernières années. Puis, on va vraiment focaliser sur des stratégies individuelles. Ce qu’on peut voir ici dans le graphique en vert, c'est les rendements annualisés pour les placements traditionnels qui sont les obligations canadiennes et les actions mondiales.

Et dans la partie qui est entourée, c'est les principales stratégies en placements alternatifs, donc l'immobilier canadien, l'infrastructure, la dette privée, le capital-investissement et les fonds de couverture. Ce qu'on peut voir en vert, c'est vraiment les rendements annualisés. Et ce qui est en rouge, c'est la baisse maximale observée au cours des quinze dernières années. Ce qui saute aux yeux, c'est que, en général, les placements alternatifs ont vraiment protégé du capital en ayant des baisses maximales moindres que les actifs traditionnels, tels que le revenu fixe canadien et les actions mondiales.

En plus de générer un rendement beaucoup plus important que les obligations canadiennes, ce qui est une des raisons pourquoi on a vu l'essor assez important au niveau des placements privés, principalement. Maintenant, lorsqu'on compare par rapport aux actions mondiales, on peut voir que ce n'est pas toutes les stratégies qui sont en mesure d'avoir un rendement aussi élevé, notamment l'immobilier, la dette privée et les fonds de couverture.

Mais bien entendu, ce n’est pas vraiment leur objectif d'avoir un rendement aussi élevé que les actions mondiales. On peut voir qu'ils ont quand même un profil risque-rendement qui est très attrayant. Puis, en termes de diversification à droite, ce qu'on peut voir, c'est que les actifs, les placements alternatifs en général, toutes ces stratégies sont très peu corrélées avec les placements traditionnels tels que les actions mondiales et le revenu fixe canadien, à l'exception de deux stratégies qui sont un petit peu plus sensibles au marché boursier, qui sont le capital-investissement et les fonds de couverture.

Là, on va regarder le tout dans un contexte de construction de portefeuille. Donc, si on part d'un portefeuille, en théorie 60/40, donc 60 % en actions, 40 % en obligations, ce qu'on peut s'attendre lorsqu'on vient rajouter une allocation aux placements alternatifs de type privé. Donc par exemple, 10 % en infrastructures, 10 % en immobilier et 10 % en dette privée, on peut s'attendre à augmenter notre profil de risque-rendement de notre portefeuille. Et tout dépendamment où on vient financer cette allocation, si on vient financer ça des actions, on va s'attendre à faire un déplacement vers la gauche, donc baisser notre risque de façon assez importante tout en gardant un rendement assez similaire.

Et si on vient financer ça du revenu fixe, bien on va s'attendre à avoir un rendement supérieur tout en maintenant un risque qui est assez similaire. Lorsqu'on regarde ici ce qui s'est passé au niveau des quinze dernières années, l'expérience a été plus que positive. On peut le voir, ça vraiment même surpassé les attentes.

Si on regarde le portefeuille de risque inférieur, donc le portefeuille qui vient financer son allocation principalement au niveau des actions, mais en plus de faire un déplacement vers la gauche et de baisser son risque à la baisse, est allé chercher un rendement annualisé un peu plus important. Mais là où on a vraiment surpassé les attentes, c'est vraiment au niveau du portefeuille à rendement supérieur qui vient financer son allocation principalement du revenu fixe.

Et là on en a vu, en plus d'avoir un rendement qui est vraiment supérieur, là on a fait un dépassement vers la gauche, donc on a baissé le risque de façon assez importante. Maintenant, on vient établir qu'en général, les placements alternatifs de type privé ont vraiment surpassé les attentes, que ce soit en termes de rendement ou de diversification.

Par contre, ça n'a pas été un long fleuve tranquille pour certains investisseurs, surtout à la lumière de certains événements qui ont vraiment mis l'évidence et la lumière sur les risques de liquidité. Notamment en 2022, suite à l'incertitude liée aux taux d'intérêt assez élevés, à l'inflation qui était assez élevée, on a vu une correction simultanée au niveau des marchés boursiers et obligataires, ce qui a fait en sorte que la proportion en placements privés est principalement, ce qui vient en tête c'est en immobilier, a pris encore plus d'importance au niveau du portefeuille et ça a été difficile pour certains investisseurs de rééquilibrer leur portefeuille à la cible, étant donné le caractère illiquide de la classe d'actifs. En plus de ça, certains investisseurs se sont retrouvés à devoir répondre à des appels de capitaux et venir à cristalliser en quelque sorte leurs pertes sur les marchés boursiers, les marchés obligataires.

Bien entendu, toute cette incertitude a fait en sorte qu'on a vu beaucoup moins de transactions dans les marchés privés, ce qui a fait en sorte que ça a été difficile pour certains investisseurs de sortir de leur investissement. Et en plus de ça, pour certains gestionnaires, d'honorer des demandes de retrait de la part de leurs investisseurs. En général, on est assez constructif au niveau de la classe d'actifs, mais ça vient quand même mettre en lumière le fait que le risque de liquidité est présent.

Et c'est vraiment important de prendre en compte plusieurs facteurs lorsqu'on construit notre allocation en placements alternatifs de type privé. Donc ces facteurs-là, on vous les a mis à gauche, puis bien entendu, y a plusieurs facteurs qui peuvent avoir une incidence sur le risque de liquidité. Mais principalement, c'est sûr que la nature de votre passif, vos besoins en liquidités, vos objectifs de rendement et le côté gouvernance. Donc, avez-vous les ressources nécessaires pour construire et surveiller votre allocation en placements alternatifs est super important. En plus de ces approches qui sont un peu plus qualitatives, ce qu’on pense aussi, c'est de faire une analyse qui est un peu plus quantitative. Et là, on vous met un exemple à droite d'un type d'analyse que vous pouvez faire. Donc ici, ce qu'on montre, c'est en fonction de vos besoins en liquidités annuels et votre allocation en placements privés.

 

C'est sûr que plus vos besoins sont importants, plus vous allez augmenter la probabilité d'avoir un événement de liquidité et pas être en mesure de pouvoir subvenir à vos besoins en liquidités. Il y a plusieurs approches qui sont possibles. Ce qui est vraiment important, c’est vraiment de prendre en compte ces facteurs afin d'être en mesure d'avoir une structure où on va être en mesure de gérer les risques de liquidité et la liquidité de notre portefeuille. Mais là, on va regarder un peu plus les perspectives au niveau des marchés publics et au niveau des placements privés. Je ne pense pas que ce soit une surprise si je vous dis que, en ce moment, on trouve les marchés traditionnels publics, donc que ce soit les actions mondiales ou le revenu fixe canadien à des niveaux assez surélevés.

Puis, on vient un peu l’illustrer avec le graphique à gauche. Donc, on voit ici les ratios cours-bénéfice du S&P 500. Actuellement, c'est le losange qui est en bleu pâle, on peut voir par rapport à la moyenne historique que les ratios cours-bénéfice sont beaucoup plus élevés que les moyennes historiques et aussi se retrouvent vraiment dans la fourchette haute de l'intervalle quinze ans.

En plus de ça, c'est un peu la même trame de fond au niveau des écarts des obligations de sociétés canadiennes de catégorie investissement. On voit que les écarts de crédit, donc la prime de rendement excédentaire par rapport à une obligation canadienne fédérale, sont vraiment en bas de leur moyenne historique. Et même, se situent à des niveaux records en termes d'intervalles dans les quinze dernières années.

Ce qui peut nous laisser porter à croire qu'on va se retrouver avec un rendement à l'avenir inférieur par rapport à ce qu'on a connu au cours des dernières années. En plus de ça, lorsqu'on regarde d'un point de vue diversification, on a vu les corrélations augmenter de façon assez importante entre les actions mondiales et le revenu fixe canadien. On est même presqu’à des niveaux records.

Donc, tous ces éléments nous portent à croire qu'il est vraiment important de prendre en compte la diversification et que les placements alternatifs peuvent continuer de jouer un rôle assez important maintenant et aussi à l'avenir. Maintenant, au niveau des perspectives des marchés privés, on est assez optimiste pour les perspectives à moyen terme, mais c'est sûr qu'on voit certains risques émergents.

Puis, on pense qu'il y a certaines considérations à prendre en compte lorsqu'on vient allouer aux principales catégories d'actifs au niveau des marchés privés. Donc, au niveau de l'immobilier, c'est sûr qu'on a vu un peu d'incertitude dans certains secteurs suite à la pandémie. Notamment, le secteur des immeubles à bureaux et les secteurs du commerce de détail. Mais maintenant qu'il y a une levée de l'incertitude, d'un point de vue opérationnel, on voit que les fondamentaux sont assez sains, surtout pour les actifs de très grande qualité.

Puis on va en parler plus en détail. En termes de considération, ça va être vraiment la valorisation relative entre chacun de ces secteurs-là, comment identifier des opportunités.

Lorsqu'on regarde au niveau des infrastructures, c'est sûr qu'on est très optimiste. On le sait tous, il y a un besoin assez important, flagrant en termes d'infrastructures. Et je ne fais pas référence seulement aux routes à Montréal, mais à travers vraiment tous les secteurs. Il y a un déficit qui est assez important entre nos besoins en termes de capitaux pour les infrastructures et les capitaux qui sont disponibles.

Michael va aller un peu plus en détail au niveau des perspectives de la classe d'actifs, ce qui fait en sorte qu'on va avoir des besoins vraiment importants et constants au niveau des capitaux privés. En termes de considération à prendre en compte, ça va être bien entendu d'être en mesure de pouvoir identifier les thèmes, puis les secteurs qui sont porteurs de croissance.

On a vu énormément d'actifs et de capitaux qui ont été déployés dans certains secteurs, notamment les énergies renouvelables et les infrastructures reliées à l'intelligence artificielle, qui au vu des récents événements, on peut se poser la question : quels secteurs vont être encore en mesure d'être porteurs de croissance ? Et au niveau de la dette privée, c'est un des secteurs où on voit un peu plus de risques émergents, bien qu'il y ait énormément de contre-arguments positifs pour la classe d'actifs.

Mais il y a une intensification de la concurrence au niveau de la classe d'actifs, compte tenu de l'intérêt de la part des investisseurs. Donc, on a vu énormément de gestionnaires rentrer dans la classe active dans les 5 à 10 dernières années, ce qui a fait une intensification de la concurrence. Et ça se transpose au niveau des écarts de crédit.

Donc, on voit des écarts de crédits un peu plus serrés. Mais ce qui nous inquiète un petit peu plus, c'est vraiment au niveau des conditions de prêt. On voit un assouplissement au niveau des conditions de prêts et ça peut se matérialiser au niveau de l’arrérage au niveau des paiements ou même au niveau des défauts de paiement. Donc, ça va être vraiment important pour les investisseurs qui sont intéressés par la classe d'actifs de s'assurer d'investir dans une stratégie qui a un profil de risque qui lui correspond, étant donné le large éventail de profils de risque au niveau de la classe d'actifs. Maintenant, si on regarde un petit peu plus la dynamique du secteur immobilier, comme je le mentionnais tout à l'heure, d'un point de vue opérationnel, surtout pour les actifs de très haute qualité, ça se passe très, très bien. Bon, il y a eu certains secteurs qui ont le vent en poupe, tels que le secteur industriel et le secteur résidentiel suite à la pandémie.

Donc, avec la pénurie de logements, le secteur essentiel, ça se passe très bien. Puis industriel, mais bien entendu, avec l'essor du commerce électronique, énormément de demandes pour des entrepôts. Puis maintenant, avec la levée de l'incertitude, on voit que les fondamentaux sont généralement sains pour les accès de très haute qualité. Par contre, il y a quand même une divergence assez importante entre la performance opérationnelle et les évaluations. Puis, on peut le voir dans le graphique de droite au niveau des écarts de taux de capitalisation par rapport à une obligation du gouvernement du Canada dix ans. Donc, on voit, en bleu, l'écart de taux de capitalisation actuel par rapport à la moyenne historique en jaune. Et on peut voir que certains secteurs sont bien en dessous des moyennes historiques tels que résidentiel et industriel. Ce qu’on montre un peu, c'est qu'on va payer une prime assez importante pour avoir la croissance du secteur résidentiel et industriel et avec la normalisation de la croissance à travers le secteur des placements immobiliers.

Mais on peut s'attendre à ce qu'il y ait une rotation du capital entre les secteurs résidentiels, industriels vers le secteur du détail et des immeubles à bureaux. Bien entendu, ça reste qu'il y a de l'incertitude. Nous, ce qu'on préconise vraiment, c'est de préconiser des actifs de très haute qualité, d'avoir une très bonne diversification à travers les secteurs et d'avoir un recours à l'effet de levier assez prudent.

Maintenant, si on regarde un petit peu plus en détail un des secteurs qui a fait les manchettes, on a tous vu les taux d'inoccupation records au niveau des immeubles à bureaux. Là aussi il y a une grosse dispersion entre les actifs de très haute qualité et les bureaux de moins grande qualité, communément appelés catégorie B et inférieure. Et là, ce qu'on vous a mis ici, c'est un graphique qui montre la dispersion des taux d'inoccupation des bureaux aux États-Unis.

Bien entendu, la situation s'est un peu plus exacerbée qu’au Canada, mais ça donne une bonne idée de la dynamique. Donc, on voit qu'aux États-Unis, 37 % des immeubles n'ont pas de locaux vacants, c'est essentiellement des immeubles de très haute qualité et 30 % des immeubles de bureaux ont près de 90 % de leurs bureaux qui sont inoccupés. Donc, des immeubles de moins grande qualité, communément appelés catégorie B et moins. Et avec la fuite vers la qualité suite à la pandémie et le retour au travail hybride, les employeurs et les compagnies ont vraiment voulu consolider leur accès vers des immeubles de très haute qualité qui offrent des services qui sont dans les centres urbains afin de vraiment favoriser et d'inciter leurs employés à retourner au bureau. Donc, pour cette raison, on a vu une demande très, très forte au niveau des immeubles de très haute qualité et les autres ont été délaissés. Ce qui fait en sorte que lorsqu'on regarde les taux d'inoccupation pour les immeubles de catégorie A et plus, on est à des niveaux prépandémiques. Et avec la baisse de la construction de l'immeuble haut de gamme, on est à des niveaux creux records dans les 20 dernières années.

Ce qu'on peut s'attendre, c'est qu'il y ait une rotation des employeurs vers les immeubles de catégorie B dans les grands centres urbains, étant donné qu’il y a beaucoup moins d'offres et que la plupart de ces immeubles de haute qualité sont occupés. Donc, ça pourrait faire en sorte d'être positif pour le secteur à l'avenir. Maintenant, je vais laisser la parole à Michael qui va parler un peu plus en détail des perspectives au niveau du marché d'infrastructures. Merci.

 

Michael Ricciardi :

Pour l'infrastructure, il y a plusieurs caractéristiques intéressantes pour des portefeuilles institutionnels. L'infrastructure offre un profil de flux de trésorerie stable, prévisible, de longue durée, offre une certaine protection contre l'inflation et sont peu corrélés avec les marchés boursiers publics. Donc, ce n'est pas surprenant que la demande institutionnelle a été très forte au cours des dernières années, ce qui a soutenu les rendements dans la classe d'actifs.

À l'avenir, les besoins de capitaux privés seraient essentiels. Le monde fait face à un déficit important de financement des infrastructures. Des milliers de milliards de dollars seraient nécessaires à chaque année pour le développement et la modernisation des infrastructures. Les fonds publics seuls, souvent, seront insuffisants pour répondre à ces besoins. On pense que cela mènera à des opportunités d'investissement intéressantes à l'avenir.

Une grande portion de ces opportunités résidera dans les infrastructures de la prochaine génération L'infrastructure 2.0, une autre façon de le dire. Et par exemple, on a la décarbonisation avec les projets d'énergie renouvelable. On a la numérisation avec les centres de données. Selon nos estimations, d'ici 2040, 80 % de la puissance et de la capacité des centres de données seront dédiées à l'intelligence artificielle.

Le point important, c'est qu'il faut être vigilant lors de l'évaluation de ces projets parce que 1, ils ont connu une très forte demande au cours des dernières années et 2, ils sont avec leurs propres risques. On pense au moment de DeepSeek qui a un peu bouleversé le secteur de l'intelligence artificielle et aussi au changement de don envers les infrastructures vertes aux États-Unis plus récemment, suite aux élections de Trump. Selon nous, au total, par contre, le contexte d'investissement demeure positif pour les infrastructures. Si je résume nos perspectives, les attentes de rendement sont plus faibles dans certains secteurs des marchés publics. Pour cette raison, les placements alternatifs privés jouent encore un rôle très important au sein d'un portefeuille, notamment à des fins de diversification.

Les perspectives pour les placements alternatifs privés demeurent généralement positives, mais il faut être conscient de l’illiquidité de ces actifs. Maintenant, avec des opportunités et des risques présents dans les marchés publics et privés, les placements alternatifs liquides ont-ils un rôle à jouer dans un portefeuille ? Ça semble être une portion du marché qui a été négligée par les investisseurs, comme on a vu au début de la présentation.

Les allocations sont restées faibles, autour de 3 %, au cours des dernières 20 années. Cela dit, on pense que ces stratégies offrent des caractéristiques intéressantes d'un point de vue de construction d'un portefeuille. La question se pose : c'est quoi exactement un placement alternatif liquide ou autrement dit les fonds de couverture ? On montre ici à gauche les stratégies d'actions ou d'obligations qui utilisent des produits dérivés ou même des positions à découvert pour générer un rendement positif, peu importe l'environnement du marché.

On a aussi des stratégies macroéconomiques qui utilisent des outils similaires pour investir dans des titres à travers le monde, pour capitaliser sur des thèmes macroéconomiques et géopolitiques. Et enfin, on a les fonds multistratégie qui sont une combinaison de plusieurs de ces stratégies pour offrir une approche qui est plus diversifiée et équilibrée. Mais comme il existe plusieurs de ces différents types de stratégies, on a résumé les caractéristiques principales à droite auxquelles on peut s'attendre dans ces stratégies.

Donc, la plupart d'entre eux vont investir dans des sites de marchés publics, comme les actions et les obligations, mais avec beaucoup plus de flexibilité, c'est-à-dire avec l'utilisation du levier, des produits dérivés et des positions à découvert. Contrairement aux fonds traditionnels, ce sont des stratégies qui vont viser à générer un rendement absolu positif plutôt que de sous-performer un indice de référence.

Donc, le rendement dépend souvent des compétences du gestionnaire et non simplement par le bêta du marché. Donc, la sélection des gestionnaires est essentielle pour la réussite. Et enfin, souvent on se retrouve à avoir des frais de performance en plus des frais de gestion. Ce qui est intéressant pour les stratégies, le profil de risque-rendement diversifié rend ces stratégies complémentaires aux actifs traditionnels.

On montre à gauche les rendements au cours des cinq dernières années pour les fonds de couverture et aussi pour les stratégies d'actions et de revenu fixe. Et on montre en jaune la baisse maximale de ces stratégies. Les rendements n'ont pas été aussi élevés que ceux des actions, à 13,5 %, raisonnable entre 5 et 7 %, mais bien supérieurs aux stratégies de revenu fixe.

En termes de risque, toutes les stratégies se sont mieux comportées comparativement aux stratégies d'actions et de revenu fixe. Aussi, la plupart de ces stratégies sont peu corrélées avec les classes d'actifs traditionnels et même décorrélées dans certains cas. Pour cette raison, les stratégies macroéconomiques et les stratégies d'actions neutres au marché ont été particulièrement résilientes. Et si je résume, ce sont toutes des stratégies qui offrent de la diversification, des rendements non corrélés et aussi une protection à la baisse.

Donc, vraiment une combinaison intéressante pour un portefeuille à considérer. Comme toute classe d’actifs, la décision d'investir se fait soit sur une base stratégique ou tactique. D'un point de vue stratégique, une allocation sera dans le but de diversifier le portefeuille sur le long terme. Lorsque vous avez déterminé l'allocation stratégique dans votre portefeuille, on pense qu'il est mieux d'adopter une approche équilibrée et diversifiée.

Les fonds multistratégie répondent exactement à ce besoin, surtout pour les investisseurs qui n'ont pas les ressources internes suffisantes pour structurer de telles allocations. D'un point de vue tactique, le but sera de profiter des opportunités potentielles, à être plus opportuniste. Dans ce cas, les allocations varieront au fil du temps et la responsabilité retombe sur l'investisseur de déterminer quand, où et combien investir.

Cette approche nécessite une certaine flexibilité au niveau de la politique de placement et aussi un certain niveau d'expertise interne pour réussir. Une fois que la décision sera prise pour investir dans ces stratégies, selon nous, il y a trois exemples de stratégies qui sont bien positionnées pour profiter des conditions actuelles du marché.

On a les stratégies macroéconomiques qui investissent pour capitaliser sur des thèmes macroéconomiques ou géopolitiques en investissant dans des devises, les matières premières, les taux d'intérêt et le crédit souverain.

Avec tout ce qui se passe dans le monde ces jours-ci, les conditions sont favorables pour les gestionnaires habiles. Et comme je l'ai déjà mentionné, ce sont des stratégies qui sont peu corrélées aux actifs traditionnels et aussi protègent le capital durant des périodes de stress. Donc, vraiment deux traits attrayants pour la construction de portefeuille. On pense aussi que les stratégies qui peuvent profiter d'une hausse et d'une baisse des actions peuvent bien fonctionner dans un marché qui est surévalué.

On a les stratégies d'actions neutres au marché qui visent à générer un rendement absolu positif, indépendant de la direction générale du marché, en prenant des positions longues et des positions à découvert dans des actions, dans le but de minimiser le risque de marché et de maximiser le rendement provenant de la sélection de titres. Enfin, on a les situations particulières.

C'est des stratégies qui investissent dans des segments de marché en difficulté ou dans des situations événementielles. Par exemple, avec le ralentissement de la croissance économique et le maintien des taux élevés en Europe, cela va exercer un peu de pression sur certaines entreprises dans des secteurs. Les gestionnaires peuvent accueillir la dette de ces entreprises en difficulté à un prix réduit et travailler pour restructurer afin de bénéficier de rendements drôlement intéressants.

Ce sont toutes des stratégies qui sont spécialisées. Donc, il est important de vous rappeler que vous achetez d'abord le gestionnaire et ensuite la stratégie. Et comme point de départ, on a mis une liste ensemble qui résume les points communs à considérer lors d'une vérification diligente. Bien sûr, il faut commencer par bien comprendre la stratégie. Quelle est l'opportunité et comment le gestionnaire compte-t-il atteindre son objectif ? Aussi, en raison de la flexibilité qui est accordée aux gestionnaires, il est important de comprendre quels sont ces risques et la manière dont ils seront gérés. Non seulement au niveau de l'investissement individuel, mais aussi au niveau du fonds. D'autres considérations aussi, ce seraient les opérations et les conditions. L'exemple, ça serait les frais, la liquidité et aussi la transparence de ces stratégies. Et on finit avec la gouvernance. La gouvernance, ce serait quelle est la réputation et l'expérience de l'équipe ?

Quelles sont la division et la séparation des tâches parmi ces membres d'équipe ? Et est-ce qu'il y a un plan de succession en place ? Ultimement, le but est d'investir dans ce qui a été promis et d'éviter toute mauvaise surprise. Donc, on a tenté de recréer l'annonce classique des hamburgers qui représente exactement ce point.

Pour terminer, j'aimerais résumer les messages clés de la présentation. Un, la demande pour les placements alternatifs privés demeure forte. Deux, au sein d'un portefeuille, la performance pour les placements alternatifs privés a été telle qu'attendue voire meilleure au fil des ans. Trois, les perspectives pour les placements alternatifs privés sont positives. Par contre, il faut être conscient de la liquidité de ces actifs.

Et la quatrième et la dernière, bien que les fonds de couverture aient été négligés par les investisseurs, on pense qu'il y a toujours une place pour ces stratégies au sein d'un portefeuille à  l'avenir, surtout d'un point de vue de construction. Donc, j'espère que ces informations vous amènent à réfléchir. Et merci beaucoup d'avoir pris le temps d'écouter la présentation aujourd'hui.

 

Soyez au fait des dernières perspectives de RBC Gestion mondiale d’actifs.

Déclarations

Ce support est fourni par RBC Gestion mondiale d’actifs (RBC GMA) à titre indicatif seulement. Il ne peut être ni reproduit, ni distribué, ni publié sans le consentement écrit préalable de RBC GMA ou de ses entités affiliées mentionnées dans les présentes. Il ne constitue pas une offre d’achat ou de vente ou la sollicitation d’achat ou de vente de titres, de produits ou de services, et ce, dans tous les territoires. Il n’a pas non plus pour objectif de fournir des conseils financiers, juridiques, comptables, fiscaux, liés aux placements ou autres, et ne doit pas servir de fondement à de tels conseils. Il ne peut pas être distribué aux investisseurs résidant dans les territoires où une telle distribution est interdite.

RBC GMA est la division de gestion d’actifs de Banque Royale du Canada (RBC) qui regroupe RBC Gestion mondiale d’actifs Inc. (RBC GMA), RBC Global Asset Management (U.S.) Inc. (RBC GAM (US)), RBC Global Asset Management (UK) Limited (RBC GAM (UK)), RBC Global Asset Management (Asia) Limited (RBC GAM (Asia)), qui sont des filiales distinctes, mais affiliées de RBC.

Au Canada, ce support est fourni par RBC GMA (y compris par PH&N Institutionnel), chacune étant régie par chaque commission provinciale ou territoriale des valeurs mobilières auprès de laquelle elle est inscrite. Aux États-Unis, il est fourni par RBC GAM (US), un conseiller en placement agréé par le gouvernement fédéral. En Europe, il est fourni par RBC GAM (UK), qui est agréée et régie par la Financial Conduct Authority du Royaume-Uni. En Asie, il est fourni par RBC GAM (Asia), qui est inscrite auprès de la Securities and Futures Commission (SFC) de Hong Kong.

Vous trouverez des informations complémentaires sur RBC GMA sur le site Web www.rbcgam.com.

Ce support n’a pas été revu par une autorité en valeurs mobilières ou toute autre autorité de réglementation et n’est inscrit auprès d’aucune d’entre elles. Il peut, s’il est approprié et permis de le faire, être distribué par les entités susmentionnées dans leur territoire respectif.

Tout renseignement prospectif sur les placements ou l’économie contenu dans ce support a été obtenu par RBC GMA auprès de plusieurs sources. Les renseignements obtenus de tiers sont jugés fiables, mais ni RBC GMA, ni ses sociétés affiliées, ni aucune autre personne n’en garantissent explicitement ou implicitement l’exactitude, l’intégralité ou la pertinence. RBC GMA et ses sociétés affiliées n’assument aucune responsabilité à l’égard des erreurs ou des omissions relatives à ces renseignements.

Les opinions contenues dans le présent support reflètent le jugement et le leadership éclairé de RBC GMA, et peuvent changer à tout moment. Elles sont données à titre indicatif seulement et ne visent pas à fournir des conseils financiers ou liés aux placements et ne doivent pas servir de fondement à de tels conseils. RBC GMA n’est pas tenue de mettre à jour ces opinions.

RBC GMA se réserve le droit, à tout moment et sans préavis, de corriger ou de modifier ces renseignements, ou de cesser de les publier.

Les rendements antérieurs ne sont pas garants des résultats futurs. Tout placement comporte un risque de perdre la totalité ou une partie du montant investi. Les rendements estimatifs indiqués, le cas échéant, sont présentés à titre indicatif seulement et ne constituent en aucun cas des prévisions. Les rendements réels pourraient être supérieurs ou inférieurs à ceux indiqués et pourraient varier considérablement, surtout à court terme. Il est impossible d’investir directement dans un indice.

Certains énoncés contenus dans ce support peuvent être considérés comme étant des énoncés prospectifs, lesquels expriment des attentes ou des prévisions actuelles à l’égard de résultats ou d’événements futurs. Les énoncés prospectifs ne sont pas des garanties de rendements ou d’événements futurs et comportent des risques et des incertitudes. Il convient de ne pas se fier indûment à ces énoncés, puisque les résultats ou les événements réels pourraient différer considérablement de ceux qui y sont indiqués en raison de divers facteurs. Avant de prendre une décision de placement, nous vous invitons à prendre en compte attentivement tous les facteurs pertinents.

®/MC Marque(s) de commerce de Banque Royale du Canada, utilisée sous licence.

© RBC Gestion mondiale d’actifs Inc., 2025
document.addEventListener("DOMContentLoaded", function() { let wrapper = document.querySelector('div[data-location="inst-insight-article-additional-resources"]'); if (wrapper) { let liElements = wrapper.querySelectorAll('.link-card-item'); liElements.forEach(function(liElement) { liElement.classList.remove('col-xl-3'); liElement.classList.add('col-xl-4'); }); } }) .section-block .footnote:empty { display: none !important; } footer.section-block * { font-size: 0.75rem; line-height: 1.5; }